Il a vécu pendant près de 4 décennies à Schaerbeek et les changements apparus au cours de la dernière législature communale l’amènent à vouloir remettre en cause toute une série de mesures prises par les édiles communaux.
Le mot principal qui lui vient en tête est le mot « LIBERTÉ », la liberté de vivre comme on l’entend, de se déplacer comme on le veut, de consommer comme on le souhaite, de profiter de la vie tout simplement, étant de plus en plus restreinte par une série de mesures imposées par une minorité.
Un Bourgmestre, des échevins, doivent veiller au bien-être des citoyens dont ils sont responsables, alors que le dernier collège s’est acharné à imposer des mesures impopulaires, souvent injustifiées et injustifiables objectivement, inutilement coûteuses alors que tout le monde pointe un déficit croissant des finances communales.
Il faut être à l’écoute réelle des citoyens, ne pas organiser des simulacres de consultations populaires pour, au final, ne pas tenir compte des critiques et des remarques. 
La gestion d’une commune doit être adulte et constructive, en présentant des solutions aux réels problèmes locaux de la commune, avec le seul objectif de rendre un maximum de gens heureux.
Enfin, trop de commerces ont disparu, principalement suite aux changements concernant la mobilité et la taxation. Trop d’entreprises sont parties pour les mêmes raisons, la commune se vide de toute activité économique pour devenir un grand dortoir, une ville morte.